L’homme de la première dague moderne en or massif, inspiré de l’antiquité égyptienne.
En 91, il fait encore plus fort, avec le joyau de l’Orient, qu’il réalise pour un riche collectionneur Japonais. Son prix ? Un million et demi de dollars. Il sait pratiquement tout faire sur un couteau : parfaite émoutures, gravure, ciselure, incrustations, sertissage…De plus, c’est un bourreau de travail qui n’a pas la grosse tête. Il continue de satisfaire la demande des collectionneurs dont le budget est plus modeste, même s’il se situe dans une gamme de prix au dessus de la moyenne. Mais on en a pour son argent, et un Warenski trouvera toujours preneur. Ses couteaux favoris sont les bowies classiques ou californiens, ainsi que les dagues d’inspiration Renaissance. Il réalise également de très élégants pliants. Son épouse Julie, le seconde dans son travail, elle-même graveur de renom, déclore la plupart des couteaux de son coutelier de mari.