Le Thiers allie tradition coutelière et modernité : il peut être monte en ivoire, en laiton, en aluminium, en maillechort, en corne de buffle ou de bœuf, en micarta, en essence de bois divers, en écaille de tortue, en rondelle de cuir, en titane, en tantale, en pierre semi et/ou précieuses, en stamina multicouches, en paperstone (ci dessous):
Il peut également être doté d’une lame au Carbonne, en acier inoxydable ou en acier damas de toutes sortes. Doté aussi ou non, selon l’inspiration des artisans couteliers, de tous les mécanismes de cran divers, d’ouverture, de verrouillage, de fermeture et d’accessoires (tire-bouchon, par exemple) des plus classiques aux plus novateurs et originaux. Il se décline aussi en couteau de table, de cuisine et en robuste sommelier trois pièces comme pour bien montrer qu’il est de son époque, enfin toutes les tailles traditionnelles sont disponibles. Quant à sa qualité (exceptionnelle croyez moi et j’en profite aussi pour signaler son ergonomie et sa prise en main remarquables), il n’est pas inutile de rappeler brièvement ici que les principes de la Jurande datent du Moyen-âge, et que le premier règlement de la Jurande de Thiers prévoyait de détruire en public, devant les Maitres de la Confrérie, les produits de mauvaise qualité ou ne répondant pas aux sévères critères fixés…Et à Thiers se traditions de qualité perdurent toujours, aujourd’hui plus que jamais ! Enfin pour l’acheteur potentiel, trois signes distingueront et démarqueront le Thiers des autres couteaux : sa ligne particulière, son nom apposé sur la lame et son poinçonnage (un T inscrit dans un petit carré) ceci pour évité toute contrefaçons. Maintenant chers fidèles lecteurs il vous appartient de partir à la recherche et à la rencontre de votre Thiers à votre main.